Lancement à Taïwan de la biographie de Chiang Ching-kuo par Jay Taylor

Chiang Ching-kuo, le fils du Generalissimo, la biographie de l’ancien président de la république de Chine écrite par l’ancien diplomate américain Jay Taylor est parue en français il y a quelques mois dans une traduction de Pierre Mallet, aux éditions René Viénet. Ce livre est désormais disponible à Taïwan à la librairie française Le Pigeonnier, où Lettres de Taïwan a organisé samedi 1er octobre son lancement.

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La librairie Le Pigeonnier, à Taipei, a accueilli le lancement taïwanais de la traduction française de la biographie de Chiang Ching-kuo. (Photo : librairie Le Pigeonnier)

Une quinzaine de personnes a assisté à la présentation de cet ouvrage par Pierre-Yves Baubry, fondateur de « Lettres de Taïwan », réalisée avec le soutien des éditions René Viénet et du traducteur de l’ouvrage Pierre Mallet. Un échange nourri a suivi cette présentation, à propos des raisons ayant conduit Chiang Ching-kuo à placer la république de Chine sur la voie de la démocratie, de son rôle dans la « Terreur Blanche » ou encore de la pérennité de son héritage politique.

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Une quinzaine de personnes a assisté à cette présentation. (Photo : librairie Le Pigeonnier)

L’ouvrage est en vente à la librairie Le Pigeonnier, tout comme deux autres relatifs également à l’histoire récente de Taïwan, traduits par Pierre Mallet et publiés chez le même éditeur : Formose trahie de George Kerr et Le Goût de la liberté de Peng Ming-min. Chacun à leur manière, ces trois livres éclairent l’évolution de Taïwan depuis l’après-guerre. Les éditions René Viénet font bénéficier les amis et clients de la librairie Le Pigeonnier d’une offre spéciale sur chacun de ces trois titres.

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Trois ouvrages sur l’histoire récente de Taïwan font l’objet d’une offre promotionnelle des éditions René Viénet réservée aux amis et clients de la librairie Le Pigeonnier.  (Photo : librairie Le Pigeonnier)

Les personnes n’ayant pu assister à cette présentation peuvent utilement se reporter à la recension de Chiang Ching-kuo, le fils du Generalissimo présentée sur « Lettres de Taïwan » il y a quelques mois : « Tsai Ing-wen et l’ombre de Chiang Ching-kuo« .

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