Pour Noël, et si vous offriez à vos proches des lectures taïwanaises ? Lettres de Taïwan a préparé pour vous une sélection de fête : huit ouvrages récents, pour tous les âges et tous les goûts.
Pas de doute, la publication par les éditions Jentayu (dont Lettres de Taïwan a l’honneur d’être un partenaire) d’un recueil de nouvelles et de poèmes originaires de Taïwan et traduites en français est l’événement de l’année. Dix-neuf auteurs vous emmènent à la découverte de l’imaginaire taïwanais, des paysages de Taïwan, de ses langues, de ses mots, de ses histoires. Plus d’infos.
Retracer l’écriture d’un film majeur, The Assassin de Hou Hsiao-hsien : telle est l’ambition de ce recueil de trois textes, le récit historique de Pei Xing (IXe siècle) qui a inspiré le film, le scénario original (écrit par Chu Tien-wen, A Cheng et Hsieh Hai-meng), enfin et surtout « Nuages mouvants », la chronique de l’écriture du scénario, de la préparation et du tournage, écrite par Hsieh Hai-meng. Une intrusion enthousiasmante dans la fabrication d’une histoire destinée à l’écran. Plus d’infos.
Cinéma taïwanais encore, mais analysé dans sa diversité sous l’angle thématique du « rétro ». Une réflexion rondement menée par le chercheur Corrado Neri, lequel a accordé plus tôt cette année un entretien à Lettres de Taïwan. Plus d’infos.
Pour les enfants, c’est vers la maison d’édition Hongfei Cultures, fondée par un Taïwanais et par un Français, que nous tournons nos pas avec ce magnifique album paru l’an dernier et qui reprend avec infiniment de grâce et de soin la légende chinoise de Mulan. Plus d’infos.
Une page d’histoire
Inédite en français, cette biographie de Chiang Ching-kuo, le fils du Generalissimo Chiang Kai-shek, offre aux lecteurs une clé de lecture incomparable de l’histoire récente de Taïwan. Traduite avec finesse par Pierre Mallet, elle dresse le portrait d’un homme d’Etat au parcours des plus originaux. Plus d’infos.
Premier roman de l’artiste taïwanaise Tsou Yung-shan, La Salle d’attente traite de l’immigration, de l’isolement et de la difficulté à se situer dans le monde qui nous entoure. Un récit maîtrisé et atypique qui paraît lisse mais regorge d’aspérités, et dévoile « pour qui sait attendre » des pistes de réflexion franchement contemporaines. Plus d’infos.
Avec Ivan Gros, l’idée se mêle au coup de pinceau dans une danse espiègle et tressautante. Sa sagacité, toute en dessins et gravures, s’applique ici à l’univers taïwanais dont il expose les codes, mine de rien. Plus d’infos.